dans notre monde
on snife nos corps
on perd le temps
on vit dans notre chambre
on voit personne
et toutes les étoiles entre nos mains
sous perfusion de notre poésie
nous font tourner les sens jusqu’à nous cogner
la tête au bord du monde
on est seul on est deux
à s’échouer d’euphorie
ils n’ont qu’à nous chercher jusqu’à nous oublier
à nous l’infinie paix dans un coin d’univers